Krach

1 septembre 2006 par - Weblog

Il suffit de lire l'histoire des codes secrets de Simon Singh, pour comprendre la vanité de l'illusion que les technologies pourront assurer une protection sans faille des droits de propriété littéraire et artistique.
La désactivation par le logiciel ironiquement dénommé "fair use" des protections de Microsoft qui empêchent ou limitent la copie des oeuvres musicales et audiovisuelles en est une nouvelle illustration.
Les savants fous qui à Bruxelles ont succombé aux charmes du tout DRM feraient bien de sortir de leurs officines, d'humer l'air du temps et de comprendre enfin que la rémunération pour copie privée en dépit de ses imperfections est le seul moyen d'assurer aux créateurs la certitude d'une rémunération pour ce type d'usages.

Pascal Rogard

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