Que choisir

19 septembre 2007 par - Weblog

Lorsque Que choisir fait des tests produits, elle sait parfaitement les faire payer au futur acheteur. Lorsque les créateurs obtiennent la juste rémunération de l'utilisation de la reproduction de leur travail, il s'agit d'une taxe illégitime selon Julien Dourgnon le brillant directeur de la communication et du marketing de l'organisation de consommateurs .

Il est vrai que Que choisir a depuis longtemps déserté le siège qu'elle détient au sein de la commission copie privée appliquant ainsi la vieille tactique indienne et Johnsonnienne qui consiste à se mettre en dehors de la tente pour pisser dedans et à chanter l'air de la calomnie pour rendre à Beaumarchais un hommage dont il se serait bien passé.

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Commentaires (2)

 

  1. Jerome Hanoteau dit :

    La dadvsi prohibe le contournement des DRMs même pour une utilisation licite (p.ex. lire un DVD légalement acheté avec des logiciels libre sous linux sans parler de la copie privée qui n’est plus permise) dans le même temps on met en place une taxe sur les disques durs (mêmes ceux utilisés pour stocker des données informatiques personnelles non protégées par le droit d’auteur) pour compenser les copies privées qui sont interdites.
    Je suis légalistes sauf quand les lois sont iniques, seule solution qui me reste le boycott.

  2. Pascal Rogard dit :

    Il est exact que la DADVSI en application de la directive européenne sur le droit d’auteur et les droits voisins dans la société de l’information assure une protection des DRM.
    Mais dans le même temps la DADVSI a renforcé la copie privée en prohibant les DRM anticopie sur le signal des services de télévision, en affirmant le principe d’intéropérabilité et en créant l’autorité de régulation des mesures techniques de protection.
    Enfin je vous rappelle que la copie privée n’est pas une taxe mais une rémunération contrepartie de l’utilisation du travail des auteurs, artistes interprètes et producteurs dont 25% doit obligatoirement être affecté à des actions culturelles d’intérêt général.
    Quant à la rémunération sur les disques durs externes, elle a été calculée en tenant compte bien entendu des pourcentage d’utilisation de ces supports pour le stockage des seules oeuvres protégées par le droit d’auteur.

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