Santé publique et publicité

10 mars 2009 par - audiovisuel

L'Assemblée nationale après des débats houleux a finalement repoussé l'amendement à la loi sur l'hôpital visant à interdire la publicité pour les produits gras et sucrés dans les programmes jeunesse.

Une bonne nouvelle pour la création française à un moment ou le chiffre d'affaires des grandes chaines privées généralistes qui sert d'assiette aux obligations de production connait  une baisse sensible conséquence du ralentissement économique.

Il est vrai que l'ensemble des professionnels de l'audiovisuel, de la publicité et les annonceurs avaient sous l'égide des ministères de la santé et de la culture  signés récemment une charte visant à améliorer sensiblement la lutte contre l'obésité infantile et pour le moins à éviter les promotions incitatives.

Une politique raisonnable et raisonnée certainement plus efficace que des mesures de prohibition qui n'auraient frappé que l' audiovisuel  alors que les autres médias et en particulier l'Internet très présent auprès des jeunes auraient été épargné.

L'internet qui bénéficiera  de l'ouverture à la publicité pour les boissons alcoolisées car en France les considérations de santé publique s'arrêtent là où commence la défense de notre haute culture vinicole.

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Commentaires (2)

 

  1. Animejason dit :

    Je ne comprend pas pourquoi nous (Français) devont financer aussi bien directement et indirectement « l’exception culturel ». Seulement 20% de ces œuvres sont rentable. Pourquoi encore financer des films qui ne seront jamais vu, ni téléchargé, ni ne feront de l’audience. Cet exception nous coûtent extrêmement chère, nos cinémas sont très cher, idem pour nos DVD/Blue-Ray, on doit attendre 6 mois pour avoir les DVD (quelque soit le succès du film) au lieu de 3 mois ailleurs. Si on veut voir un film à la TV on doit d’abord le voir sur Canal+ puis 1 an après sur la chaine qui l’a co-financer (pourquoi ne pas permettre à la dite chaine de le diffuser en 1er = réponse l’exception bien sur). Cet exception est un boulet. Si le cinema Français marche aussi bien pourquoi ne le laisse t’ont pas s’auto-financer sans nous gonfler. Je sais que je rêve, mais je souhaite voir la fin de cet exception.

  2. Animejason dit :

    Je ne comprend pas pourquoi nous (Français) devont financer aussi bien directement et indirectement « l’exception culturel ». Seulement 20% de ces œuvres sont rentable. Pourquoi encore financer des films qui ne seront jamais vu, ni téléchargé, ni ne feront de l’audience. Cet exception nous coûtent extrêmement chère, nos cinémas sont très cher, idem pour nos DVD/Blue-Ray, on doit attendre 6 mois pour avoir les DVD (quelque soit le succès du film) au lieu de 3 mois ailleurs. Si on veut voir un film à la TV on doit d’abord le voir sur Canal+ puis 1 an après sur la chaine qui l’a co-financer (pourquoi ne pas permettre à la dite chaine de le diffuser en 1er = réponse l’exception bien sur). Pour la copie privée
    nous sommes champion du monde (6.2 € par Blue-Ray un vrai délire). Cet exception est un boulet. Si le cinema Français marche aussi bien pourquoi ne le laisse t’ont pas s’auto-financer sans nous gonfler. Je sais que je rêve, mais je souhaite voir la fin de cet exception.

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